7 — Laure GUEUDELOT — « Vivre, c'est s'obstiner à achever un souvenir. »

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« Vous savez, l'amour et l'amitié, ça marche avec l'admiration », Baisers Volés, François Truffaut.

Ce truc a longtemps trainé dans ma tête. Je sais pas pourquoi je suis attiré par des gens, par ce qu’ils dégagent.

Pas ceux que vous pensez, pas toujours.

J’ai envie de savoir ce qui se passe dans leur tête.

Alors je passe une heure avec ces personnes publiques ou lambdas qui me permettent de m’éveiller, de m’émerveiller ou de m’épanouir.

J’essaie de comprendre comment, avec leur mécanique interne et leurs particularismes ils ont trouvé leur place.

Je sais pas ce que vous en pensez, mais j’ai le sentiment que les autres sont souvent pour nous des images floues, déformées ou lointaines.

Le mystère que cache cette image, voilà ce qui m’intéresse.

À la fin, les multiples facettes qui se dégagent de cette image parlent de mon invité autant que de moi, de vous, de nous.

Pour me contacter :

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CRÉDITS

Ad Mirare est un Podcast de Mickael Marinho.

Extrait de Jean-Pierre Léaud dans Baisers Volés, film de François Truffaut, produit par Les films du Carrosse.

https://amzn.to/3yItD03

Musique : Gnossienne No. 1 (Buddha-Bar Remix), George V Records

Logo réalisé par Alice Desanges-Picard

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Dans ce sixième épisode du Podcast Ad Mirare, je vous présente Laure GUEUDEULOT.

J’admire Laure car c’est une femme intelligente et ambitieuse, mais vous vous en doutez ce n’est ni suffisant dans la la vie ni pour être invité dans le Podcast.

J’admire Laure car, en dépit de ses fêlures et des coups qu’elle a reçus dans la vie, elle garde un regard lucide sur elle-même. Elle sait qu’elle n’a pas trouvé sa place mais elle se bat et donne aux autres un visage de sincérité.

Enfin, j’admire Laure car elle ambitionne de travailler à réaliser son idéal, à être pleinement elle-même, à vivre des émotions intenses.

Aujourd’hui, elle nous raconte son errance pour trouver sa 7ème orange, pour être « alignée » avec elle-même et se sentir à sa place.

J’ai donc choisi les mots de René Char pour illustrer cet épisode : « Vivre, c'est s'obstiner à achever un souvenir. », La parole en archipel, René Char.